JOHNSTON, kELLY : L’ALIENATION PARENTALE NE REPOSE SUR AUCUNE BASE SCIENTIFIQUE
Face au lobbying pressant, pour ne pas dire forcené, mené par un groupe de cliniciens dont le docteur Paul Bensussan accompagné de Olga Odinetz (présidente d’ACALPA : association contre l’aliénation parentale) qui représentaient la France, de juristes et médiateurs, groupe coordonné par le docteur William Bernet, afin que l’aliénation parentale soit incluse dans la nouvelle mouture du DSM V, le responsable au DSM de l’enfance et l’adolescence a demandé à des chercheurs connus internationalement en tant que références comme spécialistes des divorces très conflictuels et leurs conséquences sur les enfants, et qui sont tous directeurs ou membres d’un programme de recherche sur l’aliénation parentale leur avis sur cette inclusion.
Voici leur réponse qui détaille point par point les raisons pour lesquelles ils sont opposés à cette inclusion : une insuffisance de connaissances qui favorise toutes les erreurs de diagnostic: